En marge du sommet des premières dames africaines sous la houlette des Synergies africaines, la première dame du Cameroun n’a pas résisté à la tentation de se laisser aller au show et d’inviter Paris Hilton à Etoudi. Retour sur un séjour sulfureux. C’est un trio dont tout parent prudent en Amérique se donne le devoir de tenir à bonne distance de sa progéniture. Elles sont riches et jolies, mais leu
Les stratégies de répression sont d’autant plus rudes qu’elles sont diversifiées. Certains recteurs usent de méthodes moins brutales là où d’autres se montreront sans scrupules. A Yaoundé I, après la grève de Novembre 2006, le Recteur avait donné des instructions visant à ce que les critères de sélection au cycle du Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) soient taillés sur mesures dans les filières où étaient inscrits des leaders étudiants ; ceci dans le but d’écarter ces derniers.
En violation des dispositions réglementaires qui exigent comme condition une moyenne supérieure ou égale à 12/20, d’autres critères avaient été ajoutés dans les filières d’étude des leaders étudiants afin de les éliminer.
Plusieurs étudiants, en filière chimie et histoire, à l’Université de Yaoundé I, avaient été ainsi recalés, victimes collatérales des mesures punitives visant les leaders étudiants MOUAFO DJONTU et MESSI Bala, respectivement président et secrétaire général de l’ADDEC. On estime à près de trois cents, le nombre d’étudiants ayant été victimes de ces mesures arbitraires.
A l’Université de Douala, le Recteur avait demandé au Ministre de l’Enseignement Supérieur d’approuver une mesure d’exclusion des étudiants TIENTCHEU Billy PATIPE et TSE TABANG Cletus, respectivement Président et Vice Président du FRONALICE (Front National pour la Libération de la Conscience Estudiantine). Cette mesure d’exclusion prise un an plus tôt mais mise en sourdine fut antidatée et remise à jour, en guise de punition. En effet, lesdites décisions étaient, à l’évidence irrégulières, injustes et illégales.
Elles portaient la date de signature du 11 janvier 2006, et avaient été rendues publiques en décembre 2006, alors que les intéressés avaient régulièrement effectués leur scolarité pour cette année et obtenu un diplôme pour l’un4. Plus récemment, le 23 avril 2009 le Vice Chancellor de l’Université de Buea, prof. Vincent P.K TITANJI, a produit un communiqué dans lequel il suspendait, 13 étudiants, leaders de l’UBSU (University of Buea Students Union), en violation totale des textes en vigueur. En effet le Décret N°93/027 du 19 janvier 1993
Portant Dispositions Communes aux Universités stipule en son Article 62 que seul le Ministre chargé de l’Enseignement Supérieur peut prononcer la suspension/l’exclusion temporaire ou définitive d’un étudiant des Institutions Universitaires publiques. Aujourd’hui encore, les leaders étudiants continuent de faire l’objet de régulières convocations par les services de renseignement de la police pour des interrogatoires portant sur leurs activités et sur la raison d’être des associations qu’ils dirigent. Lors d’un séminaire de formation des leaders étudiants au plaidoyer,leadership et à la revendication non-violente, financé par le gouvernement américain en février 2007, les leaders de l’ADDEC avaient dû s’expliquer à plusieurs reprises auprès de la DGRE (Direction Générale des Renseignements Extérieurs), de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire) sur des soupçons de préparation d’une rébellion, de détentions d’armes, etc.
Il n’est pas superflu de mentionner que la tenue de ce séminaire avait été interdite par le Sous-préfet de Yaoundé VI, avant que la mesure d’interdiction soit désavouée plus tard par sa hiérarchie, probablement en raison des pressions de l’Ambassade américaine dans le pays. Toutefois, les agents de renseignement avaient suivi de bout en bout la session de formation.
Dans une déclaration rendue publique le 07 décembre 2006, l’ADDEC relevait que malgré le tollé qu’avait suscité la gestion calamiteuse de la crise de Buéa, marquée par l’assassinat de deux étudiants par les forces de l’ordre, un leader estudiantin, Donatus WANOBI, Président du Parliament, avait échappé à une tentative d’assassinat perpétrée par des gendarmes qui avaient ouvert le feu sur lui, dans la nuit du 04 au 05 décembre 2006, après qu’il ait réussi à sortir de sa chambre, prise d’assaut par ses bourreaux, et à se fondre dans la nuit. Les mêmes soudards avaient procédé à l’enlèvement de quatre autres leaders de l’UBSU: MBOH TAGNYI, Noël TANGA, MBU Jarvis et Atem BAKIA
L’ADDEC victime de menaces
A l’Université de Yaoundé I, il arrive souvent qu’à la suite d’actions entreprises par l’ADDEC, au sein du campus, des groupuscules clandestins fascisants – à base ethnique – sous des appellations du genre « Action Directe », sans doute à la solde de quelques barons zélés du régime politique en place, s’érigent en défenseur d’une « légalité républicaine » qui, curieusement, ne s’accommode pas du pluralisme et des libertés démocratiques. Ils procèdent par des actes d’intimidations et parfois de violences contre les leaders.
C’est ainsi que pendant et après la célébration de la 3ème édition de la Semaine de l’étudiant camerounais, instituée par l’ADDEC en souvenir des martyrs des universités d’Etat du pays,des lettres d’intimidations et de menaces aux relents ethno-fascistes, signées « ACTION DIRECTE REPUBLICAINE » – un groupe fascisant jusque là inconnu – ont été adressées à notre association. L’un des membres de ce nouveau groupe occulte s’est affiché publiquement lors de la marche silencieuse organisée par l’ADDEC le vendredi 8 mai 2009, au sein du campus de l’Université de Yaoundé I, en mémoire des étudiants assassinés dans les universités d’Etat du Cameroun.
Cet individu qui d’après nos premières investigations s’appellerait ATANGANA Jacques s’est présenté comme un enseignant de l’Ecole normale supérieure de Yaoundé (ENS) et a promis la disparition prochaine de l’ADDEC par tous les moyens. Il importe de signaler que le nom d’ATANGANA Jacques se retrouvait déjà dans quelques unes des correspondances accablantes et scandaleuses, adressées par M. Jean MESSI, en 2005, au Premier Ministre, au Ministre de l’Enseignement Supérieur et à quelques autres très hautes personnalités de l’Etat. Dans ces correspondances publiées en novembre 2005 par le quotidien Le Messager (N°1999 du Mercredi 2 Novembre 2005), Jean MESSI, ancien Recteur de l’Universités de Ngaoundéré (1993-1996) et de l’Université de Yaoundé I (1996-1998) reconnait sa participation active à la création et au financement des milices tribales dans les universités d’Etat (notamment à l’Université de Yaoundé I) en vue de ruiner toute entreprise ou mouvement de revendication de la communauté estudiantine. Jean MESSI y présentait ATANGANA Jacques comme son fidèle homme de main, chargé des salles besognes dans cette entreprise de milicisation des Universités
Le très zélé ATANGANA Jacques et ses commanditaires tapis dans l’ombre qui, de toute évidence, viennent donc de reprendre du service à travers « Action directe républicaine » n’ont manifestement pas tardé à passer de la parole aux actes. Ces derniers jours, une série d’actes de sabotage – épousant les méthodes des mouvements terroristes clandestins – ont frappés le syndicat étudiant : des « inconnus » ont tenté de forcer la porte du domicile d’un des membres de l’association dans la nuit du 07 au 08 mai dernier, la plaque indiquant l’emplacement du Siège de l’ADDEC, non loin de l’entrée de la Cité universitaire de l’Université de Yaoundé I, a récemment été détruite en pleine nuit, des tracts accusant l’ADDEC de « perturber le pouvoir du président Paul Biya » et promettant à ses membres qu’ils « n’échapperont point » ont été glissésd ans les bureaux de l’association…
Fréquentes descentes des forces de l’ordre dans les campus
Le recours fréquent aux forces de l’ordre est certainement dû à une interprétation maladroite, abusive et hâtive des franchises universitaires qui disposent en substance que le Recteur assure la police universitaire. A ce titre il/elle est autorisé(e) à faire appel aux forces de maintien de l’ordre. Les autorités universitaires profitent donc de cette disposition de la loi pour fermer tous les espaces de liberté et inviter la soldatesque dans les amphis au moindre prétexte.
En 2006, par exemple, sur invitation de Madame le Recteur d’alors, le Sous Préfet deYaoundé III, ONDOUA AKOA Alphonse Roger s’était personnellement retrouvé à la tête d’une escouade policière ayant investi le campus pour empêcher une assemblée estudiantine organisée par l’ADDEC. Débordant dezèle et armé d’un gourdin, le sous-préfet lui-même assena alors plusieurs coups à LINJUOM MBOWOU,Vice Président de l’ADDEC, (ce dernier s’en tirera avec des blessures à la tête), montrantainsi l’exempleaffligeant de la violence imbécile par laquelle les pouvoirs publics s’efforcent d’étouffer toute forme deprotestation sociale et de manifestation pacifique au Cameroun, dans les campusuniversitaires comme ailleurs.
Dans la nuit du 27 au 28 février 2008, après le discours va-t-en-guerre du Chef de l’Etat,suite aux émeutes dites de la faim (émeutes en réalité liées à la mobilisation populaire contre la modification de la constitution et qui secouèrent les principales villes du pays), une meute de militaires était descendue à la Cité universitaire de l’Université de Yaoundé I et avait commis des exactions graves. Les étudiants NTYAMFreddy Lionel, ZAMBO Franck Thierry, BIKOE Jean Renaud, EBO’O Félicien,ESSELEM Irénée s’en sortirent avec des blessures profondes au niveau de la tête pour les uns et des jambes brisées pour d’autres.
Des dégâts matériels fort importants furent également enregistrés (desportes de chambres défoncées, des scènes de pillage, etc.)Mercredi 3 Mai 2005, la police avait procédé à une interpellation de 45 étudiants qui manifestaientpacifiquement à l’Université de Douala, suite au mot d’ordre de grève lancé à Yaoundé I par l’ADDEC. Plusieurs d’entre eux avouèrent, plus tard, avoir été torturés. ( A suivre)r incroyable célébrité émane surtout de l’allure souvent dépravée qu’elles donnent à leur rythme de vie.
Une fois, s’étant saoulée la gueule au cours d’une fête, l’une d’elles, pourtant sans caleçon – comme on dit chez nous – resta les jambes ouvertes, faisant signer a un photographe une pose qui circule toujours avec fracas plus de deux ans après. Une autre a annoncé à un moment son mariage avec une autre femme avec laquelle elle s’affichait à la moindre occasion ; et depuis l’échec de ce mariage, elle a trouvé un autre moyen de consterner l’Amérique entière en traînant dans les boîtes de nuit sa petite sœur âgée de quinze ans. L’une d’elles encore se fit actrice principale d’un film pornographique toujours à la mode en ce moment. On ne comptera pas le nombre de fois que chacune d’elles a eu à faire avec la police aux motifs d’ivrognerie, consommation de drogue, assauts physiques, etc…
Si Lindsay Lohan et Britney Spear n’étaient pas là, Paris Hilton quant à elle n’a pas loupé l’occasion de se pointer à la soirée de gala baptisée “gala des premières dames d’Afrique pour le sommet de la santé”, offerte par Chantal Biya à la tête d’une dizaine d’autres femmes de chefs d’Etats et de gouvernements africains, organisée à l’hôtel Hilton de Hollywood le 22 avril 2009 avec le soutien de Exxon Mobil comme sponsor.
Et la fêtarde Paris Hilton, dont le sénateur McCain, candidat à la dernière élection américaine s’était servie du nom et des gaffes pour tenter de dérouter Barack Obama son vis-à-vis, ne semble pas avoir souffert de l’absence du reste des membres de ce qui pourrait s’appeler a juste titre “the bad girl’s club”. L’œil brillant de plaisir et large sourire quand elle débarque sur les lieux de la fête à Beverly Hills, elle a instantanément trouvé une copine ou pourquoi pas, une rivale de mode, en la personne de Chantal Biya. Souriante à souhait et révérencieuse, la première dame du Cameroun arrivant à la soirée de gala s’est accrochée sur le bras de l’actrice du film pornographique. Puis, buste contre buste, les deux ont pris une photo qui n’en finit pas de susciter des commentaires dégradants dans de nombreux blogs. Avec sa coiffure ébouriffante semblable à la crinière de lion ; ses ongles effilés ; ses habits chics, le moins qu’on puisse dire est que Chantal Biya n’avait pas l’allure moins hollywoodienne. On pourrait dire qu’elle honorait ainsi merveilleusement le titre de la plus sexy des femmes des chefs d’Etats africains que lui collent, non sans ironie, certains journaux occidentaux.
Une renommée dévastée aux Usa
Et il se pourrait que de tels tête-à-tête Chantal Biya-Paris Hilton ne feraient que commencer. En effet, dans une récente interview sur le site internet Radar Online.com, Paris Hilton a annoncé son voyage pour le Cameroun très prochainement. “La Première dame du Cameroun en personne m’a invitée dans son pays et ça, c’est quelque chose que je tiens à honorer. C’est une priorité pour moi”, a-t-elle déclaré. Paris Hilton dont on se rappelle toujours la fameuse phrase : “j’aime l’Afrique en général. L’Afrique du Sud et l’Afrique de l’Ouest. Ce sont deux grands pays” ; sa dernière sortie gaffeuse vient de se passer devant un juge quand elle reconnaissait ne pas savoir comment on règle une facture de téléphone. De ce fait, Paris Hilton peut-elle servir de modèle au point d’être invitée par la première dame du Cameroun ? Si Chantal Biya le croit, n’y a-t-il pas lieu de vivement s’inquiéter, surtout pour la qualité d’éducation et la sensibilisation contre les maladies (notamment le Vih-Sida) dont elle a fait son cheval de bataille ? Ainsi tirée à quatre épingles et tenant “ glamoureusement ” tête à Paris Hilton, sans compter le coup en espèces sonnantes et trébuchantes du cadre Hollywoodien où elle s’est retrouvée avec une délégation pléthorique – comptant même des diplomates en poste à New York auprès de la mission de l’Onu – pendant deux jours au moins, la femme de Paul Biya a vite fait comprendre aux observateurs que le sort des malades de Sida et la mauvaise éducation de la jeune fille africaine dont elle se servira de prétexte pour s’afficher dans l’illustre cour des acteurs de cinéma, n’avaient pas la peau dure par faute de moyens des Etats africains ; mais de l’usage de l’argent du peuple par les dictateurs et leur entourage.
En fait, Chantal Biya est arrivée aux Usa avec une renommée dévastée. Il y a quelques mois, le Daily News new yorkais commentait sur son penchant au mascara, sa coiffure spectaculaire et son habillement coûteux. C’était quelques jours avant l’entrée de Michelle Obama à la Maison Blanche, et le journal new yorkais affichait la première dame du Cameroun comme un exemple à ne pas suivre par l’épouse de Barack.
Sur le dos du peuple
Par-dessus le marché, elle est des plus grands profiteurs du système de son époux Paul Biya qui a fait main basse sur le Cameroun depuis 26 ans et est, selon un récent rapport du département d’Etat américain, classé au dix-neuvième rang des dictateurs actuels des Etats dans le monde. Mais c’est depuis très longtemps qu’à Hollywood, on sait de quel poids financier pèsent les proches des dictateurs africains. En effet, les journaux ont vite fait de se souvenir de Teodoro Nguema Obiang l’un des fils du dictateur de Guinée équatoriale, qui en 2001 acheta pour 5,8 millions dollars (près de 3 milliards Fcfa) une villa à Bel Air non loin de Los Angeles et planifia de se lancer dans la carrière de producteur de Rap. En 2006, il se fit encore illustrer en dépensant 35 millions de dollars (plus de 17 milliards Fcfa) pour s’offrir un lopin de terre à Malibu ! Peut-être est-ce cette sale révélation qui a fait annuler à la dernière minute le débarquement de Constancia Mengue de Obiang, l’épouse de Obiang Nguema lui-même indexé par la presse américaine stupéfaite comme l’homme qui tua son propre oncle pour parvenir au pouvoir.
Mengue de Obiang n’était pas la seule absente de la liste des premières dames africaines lancées à la conquête de Hollywood. Annoncées pour rassembler plus de 22 premières dames pendant la conférence de presse tenue le 16 avril au cours de laquelle Jean Stéphane Mbiatcha (secrétaire exécutif de Synergies africaines), s’est chargé de parler à la place de Chantal Biya, c’est finalement une dizaine seulement qui s’est pointée avec cette curiosité venue du Kenya qui était représenté en même temps par les épouses du président de la République et du Premier ministre. Si Gordon Brown n’était pas actuellement un Premier ministre quasiment vomi des siens, l’on pourrait dire que la présence de sa femme constitue un lot de consolation à la fête que Synergies africaines a tenu à donner à Hollywood. Quoi qu’il en soit, les Britanniques ont vite fait de l’identifier comme n’étant pas celle à qui revient, chez eux, le titre de première dame ; et qu’elle agissait non pas au nom du gouvernement de son mari, mais comme fondatrice d’une organisation mondiale vouée à aider la femme à l’accouchement. Michelle Obama et Laura Bush quant à elles, ont dit un non catégorique au “cinéma”.
Si on a assez vu de la fameuse soirée de gala, quasiment rien n’a filtré du forum à proprement parler qui justifiait le séjour hollywoodien de Chantal Biya et de ses amies ponceuses du budget des pauvres Etats africains. Une odeur d’échec.
Michelle Obama évite la mêlée
En allant faire du show à Hollywood deux semaines plus tôt, la femme de Paul Biya et ses “collègues” formant le cercle des premières dames africaines, ne cachaient pas leur rêve de voir débarquer Michelle Obama. Mais c’est mal connaître celle qui, en quelque cent jours à la Maison Blanche, a réussi à conquérir le cœur des Américains. Classée par ses concitoyens parmi les cent personnalités les plus influentes actuellement du pays, elle ne s’aventure pas dans des milieux chics et néfastes pour l’argent du contribuable américain, tout comme elle n’a jamais eu à s’afficher avec des stars de Hollywood qui en plus, ont tout à apprendre dans le plus élémentaire des livres d’éducation civique et morale, sous le faux prétexte de chasser des fonds d’aide.
La diplômée de Droit de Havard pour ses premiers mois à la Maison Blanche s’est focalisée à jouer son rôle d’épouse et de mère modèle tout en s’engageant dans la lutte d’une bonne nutrition et de la santé des enfants.
Elle l’a d’ailleurs démontré mardi dernier quand arrivée à New York, alors entourée par des personnages de Sesame Street, l’un des plus populaires dessins animés des Usa réservé aux moins de cinq ans, elle a fait une déclaration sur l’importance d’une alimentation saine et équilibrée. Une montée au créneau qui tombe à pic quand on sait que le fléau américain du moment, c’est l’obésité qui n’épargne plus les tout petits. “Je ne m’étais jamais imaginée au milieu de Elmo et du Grand Oiseau, c’était si amusant”, a-t-elle déclaré. De là, elle est allée à la rencontre du corps diplomatique américain en mission auprès de l’Onu, pour un entretien convivial et sans protocole. “Dans le monde entier, beaucoup compte sur le succès de vos efforts”, leur a-t-elle dit. Et pour la première fois, elle s’est aventurée dans l’univers politique en se chargeant d’être le porte-parole de son époux qui vient de créer un fond de 50 millions de dollars au bénéfice des Ong qui travaillent plus au contact des couches sociales en situation délicate. Un exemple à suivre.